Sans aménagements, le Groupe ADP ne serait pas au rendez-vous de la décarbonation.

En 2035, s’il n’y avait pas de nouveaux aménagements, l’accueil des 88 millions de passagers prévisibles serait fait avec une qualité de service très dégradée, notamment avec un grand nombre de vols au large, c’est-à-dire de trajets par bus, inconfortables et peu accessibles notamment pour les personnes à mobilité réduite. Sans nouveaux aménagements pour la gare CDG2, les voyageurs venant par le train ou le métro ne pourraient pas être accueillis.

En 2050, s’il n’y avait pas de nouveaux aménagements, les capacités d’accueil de l’aéroport seraient définitivement bloquées autour du niveau de 2035 (88 millions de passagers par an) sans amélioration de l’expérience client et dégradant fortement la compétitivité de l’aéroport et du hub d’Air France et de ses partenaires de Skyteam. Les voyageurs et le transport de marchandises se reporteraient alors vers des concurrents moins engagés dans la transition environnementale, déplaçant de fait les émissions de CO2 vers d’autres géographies, sans les faire aucunement disparaître pour autant.